La publication relève les grands traits contemporains des structures syndicales internationales aux niveaux mondial et européen, et aux échelons interprofessionnel, sectoriel, et d’entreprise, ce qui permet de mieux comprendre leurs difficultés à agir.

Elle complète notre connaissance du syndicalisme aujourd’hui et peut ouvrir la voie à une meilleure appropriation collective de lieux à réinvestir à l’heure où chaque travailleur est contraint par des processus qui dépassent largement le cadre politique national.

Deux chercheurs du Gresea ont participé à ce numéro.

Anne Dufresne a co-édité le numéro avec K. Crochemore (Université du Havre) et C. Gobin (ULB) et a co-écrit l’introduction intitulée « décrypter les difficultés du syndicalisme international » qui présente le numéro et que nous vous proposons de découvrir ICI.
Elle a également réalisé le grand entretien (avec K. Crochemore) avec Eduardo Chagas (ETF) et Felipe Van Keirsbilck qui dévoile «  les possibilités et limites du syndicalisme international en Europe ».
Enfin, elle a publié un article sur le niveau sectoriel européen intitulé « La fédération de branche européenne : partenaire dans le dialogue social et en quête d’autonomie dans la coordination salariale ».

Bruno Bauraind a aussi participé au numéro en couvrant «  l’action syndicale d’entreprise face aux restructurations transnationales ». Il prend pour étude de cas la restructuration chez Arcelor-Mittal.

Pour lire l’introduction

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