La dette publique belge fait beaucoup parler d’elle en ce moment. L’intervention publique de 2008 pour “sauver” les banques en difficulté explique largement l’accroissement de l’endettement public du plat pays. A ce propos, les chiffres prouvent qu’il est impossible, à moyen terme, de compter sur les dividendes que les banques rapporteront à l’État pour “repayer” la dette de ce dernier. Et c’est ici qu’intervient l’austérité.
D’après un économiste employé par la filiale belge d’une grande banque étrangère, les choses sont claires : Avoir laissé filer les déficits et la dette était nécessaire pour éviter une dépression. Mais il est clair que maintenant, un peu plus de rigueur est indispensable, ne serait-ce que pour reconstituer les marges de manœuvre qui nous ont permis de passer au travers de la crise en évitant la débâcle de 1929. Traduction : en cas de problèmes futurs, l’Etat doit, en priorité, continuer à fournir des liquidités aux banques. En attendant, le citoyen est prié de se serrer la ceinture.

Ce livre montre le caractère absurde de cette situation en critiquant le problème à sa source, à savoir la libéralisation du secteur financier qui a pris en otage les Etats. Y compris la Belgique…

ISBN 978-2-87003-593 / février 2012
144 pages / format 14*21 cm / 14 euros

 


 

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