L’accumulation primitive du capital, nécessaire au développement du capitalisme, s’est réalisée par l’esclavage, le développement du commerce, l’asservissement et le pillage des colonies, ainsi que par la privatisation de la terre et la séparation entre travail et moyens de production. Elle a impliqué, une reconfiguration des rapports sociaux de sexe, de classe et de « race ».
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Etude parue dans le Gresea Echos 95, septembre 2018. Pour commander ce numéro, rendez-vous ici
Pour citer cet article : Natalia Hirtz, Classe, sexe et race. Aux racine des mouvements migratoires, décembre 2018, disponible à l’adresse : [http://www.gresea.be/Classe-sexe-et-race-1858]