Première partie : discussion sur les textes de débats
14h-15h20. Présidence de séance : Anne Dufresne (GRESEA, UCL)
•Avenir du Travail : la liberté ou la mort, Thomas Coutrot, économiste, Chef du département « conditions de travail et santé » à la DARES au Ministère du Travail et de l’Emploi en France
• Digitalisation in the world of work – need for participation, co-determination and démocratisation, Kurt Pärli, Université de Bâle / Anne Meier, MSS Law, Genève
Discutante : Francine Bolle, historienne à l’ULB
• On the difficult relationship between European law and collective labour agreements, Isabelle Van Hiel, vrije universiteit Brussel (VUB)
• Statistique et militantisme : Le BIT, ACDC et la notion d’« emploi inadéquat », Laure Piguet, Université de Genève
Discutante : Corinne Gobin, politologue à l’ULB
Pause
Deuxième partie : focalisation sur quelques autres enjeux centraux déterminants pour le présent et le futur du travail
15h30-17h30. Présidence de séance : Jean Vandewattyne (UMons, ULB).
• Ce que l’histoire sociale nous apprend face à des enjeux contemporains du Travail, Francine Bolle (ULB)
• Ce que le mouvement des gilets jaunes nous dit des rapports entre contestation sociale, état des inégalités et pouvoir politique, Corinne Gobin (ULB)
•Les Gilets jaunes et les organisations syndicales en France, Sophie Béroud, Université de Lyon II.
Discutante : Mme Lieve Verboven, directrice du bureau de l’OIT
OIT
Organisation internationale du Travail : Institution internationale, créée par le Traité de Versailles en 1919 et associée à l’ONU depuis 1946, dans le but de promouvoir l’amélioration des conditions de travail dans le monde. Les États qui la composent y sont représentés par des délégués gouvernementaux, mais également - et sur un pied d’égalité - par des représentants des travailleurs et des employeurs. Elle regroupe actuellement 183 États membres et fonctionne à partir d’un secrétariat appelé Bureau international du travail (BIT). Elle a établi des règles minimales de travail décent comprenant : élimination du travail forcé, suppression du labeur des enfants (en dessous de 12 ans), liberté des pratiques syndicales, non-discrimination à l’embauche et dans le travail… Mais elle dispose de peu de moyens pour faire respecter ce qu’elle décide.
(En anglais : International Labour Organization, ILO)
auprès de l’Union européenne et le Benelux à Bruxelles
Organisation par le Groupe de contact FNRS “Travail et émancipation sociale”
Comité organisateur : Corinne Gobin, Francine Bolle, Esteban Martinez, Anne Dufresne, Jean Vandewattyne